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gras
adverbe adjectif nom masculin
Définitions, synonymes, exemples en français
Définitions de “gras“
gras
adverbe
FR
[gʀa]
D’une manière grasse.
1
Manger gras, → manger des aliments riches en graisses.
gras, grasse
adjectif
FR
[gʀa, gʀas]
Qui renferme de la graisse.
1
Les parties grasses d’une viande.
Par extension.
Qui a de la graisse en abondance.
a
Un homme gras, → avec de l’embonpoint.
Un chapon gras, → bien engraissé durant sa période d’élevage.
Taché, enduit de graisse.
b
Des vêtements gras, des papiers gras.
Imprégné de séborrhée.
2
Avoir la peau grasse, les cheveux gras.
Qui a une consistance onctueuse ou épaisse.
3
Une terre grasse est forte, tenace.
Une boue grasse.
Typographie.
Caractère de taille plus épaisse que la taille standard.
4
Les titres sont en italique gras.
Sens figuré.
Qui est humide, brumeux.
5
Un temps gras.
Qui est recouvert d’une pellicule grasse rendant la surface glissante.
6
Une chaussée grasse.
Sens figuré.
Abondant, important.
7
Il a perçu de grasses récompenses.
Littéraire.
Qui est fertile, produit en abondance.
8
De grasses vallées.
gras
nom masculin
FR
[gʀa]
Ce qui est gras. Partie grasse de la viande.
1
Le gras de la jambe, → la partie charnue, le mollet.
Viticulture.
État d’altération du vin.
2
Ce vin tourne au gras.
Sériciculture.
Maladie des vers à soie, qui rend la chenille onctueuse et l’empêche de filer.
3
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Synonymes de “gras“
gras, grasse
adjectif
Sens principaux
gras, grasse [En parlant de qqn]
[Fam.]
↪
gras, grasse [Qui a l’aspect de la graisse]
gras, grasse [Contraire à la bienséance]
gras, grasse [En parlant d’un son]
gras, grasse [Typo.]
Antonymes de “gras“
gras, grasse
adjectif
Sens principaux
gras, grasse [En parlant de qqn]
[Fam.]
↪
[Fam.]
↪
gras, grasse [Qui produit beaucoup]
gras, grasse [Typo.]
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Charme ; allégement d’une peine.
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grasse
Féminin de l’adjectif : gras.
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Pourquoi déguste-t-on des crêpes, beignets, bugnes ou encore merveilles à Mardi gras ?
Mardi gras est célébré le jour précédant le mercredi des Cendres, début du carême.
Durant les sept jours avant le jeûne, dits « la semaine des sept jours gras », on mangeait en abondance et on finissait par des pâtisseries. Mardi gras est donc le dernier de jour de « plaisirs », où l’on pouvait manger gras, avant une longue période de restrictions.
Selon les régions, on dégustera : des oreillettes en Provence, des ganses à Nice, des roussettes en Alsace, des corvechets en Lorraine, des merveilles dans le Sud-Ouest ou des bugnes dans le Lyonnais.